Dans ce texte, Bernard Noël analyse l’œuvre de Geneviève Besse à travers sa relation singulière à l’écriture. Une réflexion profonde sur le geste, la trace et la matérialité du signe, là où l’écriture devient espace, souffle et énergie.

Pierre met en lumière la richesse et la diversité de l'œuvre, qui relie le dehors et le dedans, la nature et la culture, le réel et l’imaginaire, par un ballet de signes, d’éclats, d’ombres, d’épaisseurs et de légèretés.

Extraits choisis de textes d'amis d'amirateurs et fragments de carnets où Alain note et répertorie, tel un anthropologue, les signes du temps.

Anne tisse un dialogue entre son vécu aquatique et sa peinture. À travers des formes épurées comme les arches et les poissons, elle capte les énergies du monde pour les retranscrire sur la toile. Sa peinture vibre entre le réel et le symbolique, créant un espace de contemplation ouvert et infini.